Satan sidéré

Pain grillé, cheminée, soufflet, dégonfle, le son réveille, et tic et tac, tape à plat sur le tapis, tirer les clés sur le palier, la porte ne tape pas, il y a quelqu'un, toc et ploc, sous la gouttière gargouille une cagouille étranglée. Satan se sent étripé tout paumé, sidéré. Sors la scie qu'on en vive, luminaire, carnaval en cotillon ! Aller puis retourner, vibrer, crâner pour ne pas avoir. S'il y a un arc-en-ciel, le prendre et le rythmer.

*Texte écrit durant l'écoute d'une improvisation musicale accordéon et voix